Alors que le peuple, dans toutes ses composantes, police comprise, continue de manifester de façon de plus en plus incessante,l'illégitime gouvernement continue d'offenser les Tunisiens en organisant des conférences de presse lors desquelles on constate des propos contradictoires entre FRIAA, l’illégitime ministre de l’intérieur et le non moins illégitime premier ministre GANNOUCHI :
- Le premier (Friaa) avance que la loi ne lui permet pas de divulguer des noms de personnes en cours d’instruction: les plus grandes démocraties du monde, qui ne pratiquent pas cette pseudo loi, doivent rattraper leur retard en matière des droits des criminels.
- Le second (Gannouchi) contredit son ministre de l’intérieur mais ne divulgue rien!! Bien plus, concernant l’ancien directeur de la sûreté et de la garde présidentielle (j’ai la chair de poule en écrivant présidentielles, alors je corrige par garde criminelle) le dénommé SERIATI Ali, arrêté, armes en mains, après avoir tiré sur les militaires, le sieur Gannouchi n’affirme pas sa culpabilité:
bref il ne sait pas grand chose sur presque tout; il prend tous les Tunisiens pour des plus que des idiots -- merci Gannouchi, les Tunisiens apprécieront.
Drôle de conférence de presse post révolution, drôle de décor et drôle de journalistes!!
Cette foule de journalistes est au nombre de deux, ils doivent être les heureux élus de toute la presse écrite et audiovisuelle que compte la Tunisie; ils mériteraient des cartes gratuites du RCD.
Quant aux journalistes étrangers, ils sont disqualifiés: normal, on lave notre linge sale entre nous en toute transparence et personne n'a de leçon a nous donner, oui personne, fut-il le peuple Tunisien lui-même.
Mais qui donc tire vraiment les ficelles de ce gouvernement fantoche et illégitime ?
Le peuple Tunisien exige le tomber du rideau et malheur à ceux qui continuent à alimenter le complot contre les Tunisiens et leur révolution, ceux qui sont derrière le rideau doivent se montrer au grand jour, même s’ils sont sous une quelconque pression.
Leur intérêt et leur devoir leur commande de prendre acte de la volonté du peuple et de s'y plier; ainsi ils seront considérés comme des braves et leurs noms seront gravés à jamais dans l'histoire de la Révolution Tunisienne et la construction des bases de la nouvelle République; celle de l’égalité et la justice pour tous.
Que nos appels et nos vœux soient écoutés et exaucés.
Chiheb-eddine ENNAIFER